Arrêtez de dire qu’il faut pardonner “parce que c’est la famille.”

Ce conseil, bien qu’animé de bonnes intentions, est souvent nocif.
Et il est temps de le remettre en question, avec des émotions brutes et toute la vérité.

Parce qu’au fond, la famille aurait dû mieux faire.
La famille aurait dû me protéger, pas me blesser.
Elle aurait dû être de mon côté, pas me trahir.
Elle aurait dû être mon refuge, pas la source de mon traumatisme le plus profond.

Et le fait de partager le même sang
ne signifie pas que je leur dois l’accès à ma paix,
à mes enfants, ou à la vie que j’ai reconstruite avec tant d’efforts.

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