La maîtresse regarda à nouveau la feuille…
Et soudain, ce n’était plus une tache. C’était une porte vers l’imaginaire d’un enfant que personne ne comprenait.
Ce jour-là, elle écrivit dans son carnet :
« Il ne faut jamais juger un dessin… ni un enfant… au premier regard. Parfois, les plus grands mondes commencent par une simple tache noire. »
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