Une question d’hormones… mais pas seulement !
On associe souvent cette fréquence de pensées à la testostérone, cette hormone bien connue pour son influence sur le comportement masculin. Et effectivement, elle joue un rôle. Mais attention à ne pas tout lui attribuer.
La réalité est bien plus nuancée : le mode de vie, l’alimentation, la qualité du sommeil ou encore le niveau de stress peuvent influencer ce type de pensées. Des études ont montré qu’un excès de sollicitations numériques (réseaux sociaux, écrans, etc.) peut aussi amplifier ce phénomène, en stimulant constamment le cerveau.

Et si c’était un manque d’activité mentale ?
Penser de manière obsessionnelle à un sujet peut aussi être le symptôme… d’un esprit sous-stimulé ! Lorsqu’un homme ne se sent pas intellectuellement engagé ou stimulé, il peut inconsciemment se focaliser sur des pensées répétitives comme une manière de compenser.
Cela peut arriver lors de périodes de chômage, d’ennui, ou dans un quotidien trop routinier. Comme un moteur qui tourne à vide, l’esprit cherche alors à se distraire – souvent de manière automatique.