Toujours rejeter la faute sur l’autre
Dans certaines disputes, il semble impossible d’obtenir un « tu as raison » ou un simple « pardon ». Quand la faute est systématiquement reportée sur l’autre, le dialogue devient stérile. À force, le partenaire se sent constamment jugé, responsable de tout, et finit par perdre confiance en sa propre perception. Cette manière d’esquiver ses responsabilités installe un sentiment d’injustice durable.
La flatterie… pas toujours désintéressée
Un compliment fait toujours plaisir, mais lorsqu’il devient excessif ou trop fréquent, il peut cacher une arrière-pensée. Par exemple, encenser son partenaire pour l’inciter à prendre une décision profitable uniquement pour soi. Derrière ce vernis agréable, cette accumulation de flatteries peut transformer l’affection en outil de contrôle, rendant l’autre redevable presque malgré lui.
L’isolement discret mais progressif
Vous avez remarqué que certaines remarques incitent à voir moins vos amis, à passer moins de temps avec votre famille ? Ce glissement peut sembler mineur au départ, mais il réduit peu à peu le cercle de soutien du partenaire. À la longue, il devient plus dépendant de sa compagne, avec moins de repères extérieurs. Cet isolement favorise le contrôle et limite les regards bienveillants de l’entourage.